La saison des poètes

Aujourd'hui c'est dimanche et on a tous dormi une heure de plus pour une sombre histoire d'heure d'hiver. Sombre car nous voilà replongés dans cette délicate période de six mois - autant dire la moitié de l'année - où la nuit nous tombe sur le coin de la gueule avant même d'avoir pu aller se tremper les aisselles dans un métro surchauffé. Et je ne parle pas des apéros sans coucher de soleil, de la bronchite du fumeur exilé en terrasse ni de toutes ces petites réjouissances qui caractérisent l'hiver sous nos lattitude qu'on n'hésitera pas à qualifier littéralement de saison de merde.
Alors voilà, pour faire passer la pilule, et en attendant le 21 mars, un instant de grâce, un zeste de bonheur et un soupçon de poésie ; bref, trois petits bouts de films comme on en fait plus ... Extraits pour le premier d'un film inconnu au bataillon (si vous avez le titre je suis preneur) les deux autres provenant du mythique mais introuvable Maîtresses très particulières



Et là évidemment vous connaissez la suite, que je me sens obligé d'ajouter ...

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